ETHOCHIENS

Histoire des chiens

HISTORIQUEMENT

Les chiens dérivent des canidés sauvages et locaux depuis que l’homme est homme et que ces animaux opportunistes ont trouvé auprès de la race humaine les moyens de survivre à peu de frais. Localement, chaque région a des chiens adaptés à la topographie, au climat, aux habitudes de vie et à d’autres caractères relevant des besoins humains comme la garde, la chasse, les troupeaux et la compagnie. En France, c’est au moyen âge qu’une partie des chiens deviennent utilitaires en milieu rural et représentatif des loisirs en ville dans la bourgeoisie et la noblesse. Ce n’est que vers le 19ème siècle que les races se stabilisent et qu’elles sont formalisées. Les techniques modernes relèguent le chien au second plan qui devient un loisir et un objet de représentation. Les premières races se différencient et les premiers standards apparaissent. L’aspect utilitaire reste présent et le chien devient une valeur avec un prix. Les structures d’organisation se mettent en place avec des réglementations précises et de plus en plus élaborées. Le chien reste une chose dans la loi Française où le Code civil considère le chien comme une table ou une voiture. C’est une chose. Cet aspect développe des aberrations juridiques en mélangeant des réglementations. Certaines relèvent de la nature du bien et de réglementations inapplicables au concept d’animal. Une table ne peut pas mordre.

Le contrat de vente est réglementé comme le contrat de vente d’une voiture, mais le comportement du chien est réglementé par les règles du droit pénal et civil. Sur un accident avec votre voiture, votre responsabilité sera engagée. Si votre chien provoque des dégâts, votre responsabilité sera engagée, mais de manière bien différente. Il n’existe pas de légitime défense avec une voiture qui ne saute pas de clôture, vol des poules ou porte une muselière. On ne verra jamais votre tabouret avec une laisse ou un collier. La loi fait donc le grand écart avec ce concept de chose vivante alors qu’une chose par essence ne peut être vivante.

Les chiens dérivent des canidés sauvages et locaux depuis que l’homme est homme et que ces animaux opportunistes ont trouvé auprès de la race humaine les moyens de survivre à peu de frais. Localement, chaque région a des chiens adaptés à la topographie, au climat, aux habitudes de vie et à d’autres caractères relevant des besoins humains comme la garde, la chasse, les troupeaux et la compagnie. En France, c’est au moyen âge qu’une partie des chiens deviennent utilitaires en milieu rural et représentatif des loisirs en ville dans la bourgeoisie et la noblesse. Ce n’est que vers le 19ème siècle que les races se stabilisent et qu’elles sont formalisées. Les techniques modernes relèguent le chien au second plan qui devient un loisir et un objet de représentation. Les premières races se différencient et les premiers standards apparaissent. L’aspect utilitaire reste présent et le chien devient une valeur avec un prix. Les structures d’organisation se mettent en place avec des réglementations précises et de plus en plus élaborées. Le chien reste une chose dans la loi Française où le Code civil considère le chien comme une table ou une voiture. C’est une chose. Cet aspect développe des aberrations juridiques en mélangeant des réglementations. Certaines relèvent de la nature du bien et de réglementations inapplicables au concept d’animal. Une table ne peut pas mordre.

Le contrat de vente est réglementé comme le contrat de vente d’une voiture, mais le comportement du chien est réglementé par les règles du droit pénal et civil. Sur un accident avec votre voiture, votre responsabilité sera engagée. Si votre chien provoque des dégâts, votre responsabilité sera engagée, mais de manière bien différente. Il n’existe pas de légitime défense avec une voiture qui ne saute pas de clôture, vol des poules ou porte une muselière. On ne verra jamais votre tabouret avec une laisse ou un collier. La loi fait donc le grand écart avec ce concept de chose vivante alors qu’une chose par essence ne peut être vivante.